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~~ Au fil du Verre d'Eau ~~
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~~ Au fil du Verre d'Eau ~~
7 juin 2014

« De ce qui -est, peut-on dériver ce qui -devrait être ? »

 > ' dériver ' = au sens de : ' en déduire '.   [ndlr]
- Sur quoi (et comment)  fonder un idéal  imaginé ?
- On peut définir un idéal ;  mais pour l’atteindre, il faut connaître les conditions et les moyens futurs, autant que la situation initiale.
- De la perception de ‘ce qui est’, déjà accompagné d’une valeur, se forme une  interprétation, une représentation subjective, qui est la base de construction d’un projet, dont la valeur ajoutée motive à agir.
- La société est vivante et en évolution ;  on pourrait estimer qu’elle tend naturellement vers ce qu’elle devrait..
  Mais sinon :  
- "Oui".., on pourrait projeter ce qui 'devrait être', dès le moment où on aura pu analyser en profondeur, les causes des problèmes de 'ce qui est'. 
- Dans la réalité se trouve le noyau de ce qui devrait ;  mais l’opposé de ce qui ne va pas, n’est pas toujours ce qui doit.
- ‘Ce qui est’ (un des chemins parmi les possibles), n’est pas fondement d’une norme, le choix de la ou des routes à prendre  ne peut en être argué.  (Cf. Loi de Hume, et risque de paralogisme)
  Mais alors :
- Étant imbriqués et impliqués dans le réel, comment s’en détacher (se déconditionner)  pour créer une 'idée meilleure' ? 

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