« Que doit-on faire avec des individus qui ont commis les actes les plus répréhensibles ? »

- Aux yeux de la justice, les criminels ont-ils plus de poids que les victimes ?
- La justice sert-elle à faire respecter la loi, à protéger la société ou à punir ?
- Il faut juger les actes et les crimes plutôt que les individus.
- La loi et son interprétation doivent-elles être morales ?
- La morale varie selon le contrat social, certains s’en sentent exclus.
- Que peut-on attendre d’une société fascinée par le crime ?
- Le criminel est aussi victime de son acte.
- L’enfermement est une des manières d’empêcher de nuire.
- La prison permet mal une insertion ultérieure.
- Le désir de réparation, de vengeance est reconnaitre le responsable comme humain.
- Besoin pour la victime que sa souffrance soit reconnue.
- Comprendre n’est pas tolérer, ni excuser.
- Peut-on choisir de faire le mal consciemment ?
- Jugement, responsabilité supposent la liberté de brider les pulsions.
- Pour la victime, la torture, l'empathie ou l'indifférence réservée aux phénomènes naturels.
- Pour le citoyen, à la fois protéger la société et ouvrir une voie de rédemption à ceux qui le souhaitent.
- La punition doit être vue à la lumière de l'efficacité, de la réparation et de la rédemption.
- L'identification avec la  victime est plus problématique.
- N'oublions pas que faire le mal est pour certains, un choix qui amène du plaisir, et non une compulsion.

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