« Les racines profondes de la nature féminine et masculine. »

- Si la femme était réellement amour, l'homme ne passerait pas son temps à guerroyer.
- Il faut beaucoup de tolérance et d'ouverture d'esprit pour que le dialogue existe.
- Il reste un grand point d'interrogation, les ressentis sont personnels.
- Je demande qui a initié une des premières guerres du monde : celle de Troie.
- Sortons des stéréotypes. Les spécificités sont des richesses générées par le "bain" d'hormones chez chacun, diversement entre les genres, et variables suivant l'âge.
- L'homme androgyne a été irrémédiablement séparé et aspire à se compléter.
- La nature de la femme la porte à devenir mère, mais les différences de comportement sont souvent induites par la culture.

 Commentaires

 Rôles
L’expérience du genre est chez la femme toute intérieure, rythmée par des cycles naturels, et la prédispose à « accueillir » ; pour l’homme, elle serait ‘en-dehors’, ce qui le pousse à « conquérir ».
Mais l’ « humanité » de la femme lui donne la liberté de sortir du déterminisme, de ne pas se limiter à sa fonction biologique : ce sont les sociétés patriarcales qui lui ont donné un rôle effacé dans la cité, limité au domaine domestique, le rationalisme a occulté les pensées qui ne sont pas basées sur le concret, la logique. Sortir de ces modèles, en prenant une place équivalente à l’homme dans la société, n’en fait pas une concurrence à écarter, mais un atout pour évoluer dans la réflexion sur le devenir de notre manière de vivre ensemble.
Patricia -08-10-2009

 Pas d'accord  avec  Patricia
Si l'expérience du genre est intérieure chez la femme, il serait dommage d'en conclure que l'homme n'a pas d'intériorité.
Les cycles naturels prédisposent la femme à "accueillir", mais crois-tu que l'homme n'accueille jamais ?
La nature de l'homme serait de conquérir.... Oui mais peut-être est-ce parce que la femme se satisfait trop de son intériorité ?
Il y a un petit quelque chose dans ce texte qui me parait être une contradiction : La femme essayerait de sortir du déterminisme, mais si l'homme est poussé à conquérir, n'essaye-t-il pas aussi à sortir de son déterminisme ?
Les sociétés patriacales ont donné un rôle "effacé" à la femme mais c'était aussi pour la protéger dans son rôle de mère, alors que l'homme était exposé à tous les dangers ! Mais sortons nous vraiment de ces modèles ? Les femmes aiment encore toujours être protégées, même si elles revendiquent des autonomies plus grandes qu'autrefois !   Et enfin, il faut être naïf pour croire que nous pouvons sortir de notre déterminisme ; le déterminisme que nous croyons découvrir n'est qu'une illusion !
Ex : Si nous avions vécu 300 ans plus tôt en Papouasie, par exemple, nous n'aurions jamais vécu ce que nous avons vécu ici en Belgique à notre époque !
Gilbert -10-10-2009
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